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Art québécois et canadien

Collection de l’art québécois et canadien du Musée des beaux-arts de Montréal

L'art inuit

Les premières œuvres d’art inuit ont été acquises en 1953, à l’initiative de F. Cleveland Morgan. Une politique d’enrichissement dynamique par voie d’achats et de dons contribue à l’accroissement de cette collection. Déployée au quatrième et dernier niveau du pavillon Claire et Marc Bourgie, cette collection témoigne de la pratique artistique inuit, y compris celle d’aujourd’hui. Elle met aussi l’accent sur le regard de ce peuple, son image, ses transformations et ses légendes.

Les identités fondatrices
(années 1700-1870)

Située au niveau 3 du pavillon, cette galerie est consacrée aux débuts de l’art canadien en Nouvelle-France. Elle comprend notamment deux cabinets mettant en valeur l’orfèvrerie religieuse et séculière de l’époque. L’art autochtone, ancien et contemporain, y est aussi intégré pour faire valoir le regard critique et introspectif des Premières Nations sur leurs contacts avec les Euro-Canadiens.

L'époque des Salons
(années 1880-1920)

Cette section illustre la multiplication des échanges culturels avec l’Europe et la création des salons d’art canadiens. L’Art Association of Montreal, ancêtre du Musée, joue un rôle central dans l’émergence d’une scène artistique locale professionnelle. Elle présente son premier Salon annuel d’art canadien en 1880 : le Salon du Printemps. Ce niveau valorise également les fonds majeurs d’œuvres d’Ozias Leduc, de James Wilson Morrice et d’Alfred Laliberté.

Les chemins de la modernité
(années 1920-1930)

Cette galerie met en lumière les différentes approches plastiques pratiquées par les tenants d’une modernité aspirant à la définition d’une identité artistique nationale, notamment Tom Thomson, le Groupe des Sept (Lawren Harris, A. Y. Jackson, etc.) à Toronto, et à l’affirmation de la forme sur le contenu, avec le Groupe de Beaver Hall (Prudence Heward, Lilias Torrance Newton, etc.) et la Société d’art contemporain de Montréal.

Le temps des manifestes
(années 1940-1960)

Cette galerie retrace l’avènement de la modernité artistique québécoise représentée par ses principaux protagonistes, dont Alfred Pellan, Paul-Émile Borduas et Jean-Paul Riopelle. Ce dernier bénéficie d’une salle lui étant entièrement consacrée.

Champs libres
(années 1960-1970)

Située au niveau S2 du pavillon, cette galerie à l’architecture spectaculaire célèbre l’épanouissement de la peinture montréalaise et canadienne avec des tableaux et des sculptures de grand format signés Claude Tousignant, Guido Molinari, Jean-Paul Riopelle, Michael Snow et Serge Lemoyne, entre autres.

Pavillon Claire et Marc Bourgie

Veuillez noter que les œuvres illustrées sur cette page ne sont pas nécessairement exposées en ce moment.

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