En 1911, Morrice choquait les critiques avec un nu, et il faisait part à un ami de sa fascination pour le peintre français Pierre Bonnard, dont il avait vu les œuvres récentes à la Galerie Bernheim-Jeune, à Paris. Nous connaissons trois études d’une jeune femme blonde, entièrement nue et vue de dos, très proches de celles du peintre français, auxquelles s’ajoute la Femme au peignoir rouge, dénudée... et vue de face.