En 1940, Scott écrit dans son journal : « Ce que je vise, c’est quelque chose de plus proche de Franz Marc. Son abstraction servait à exprimer une attitude à l’égard de la vie. Simplifications et rythme, l’unité de l’animal et de la nature. J’aimerais exprimer l’unité rythmique et créative de l’homme et de son univers » À Montréal, les courbes caractéristiques des escaliers extérieurs en façade des appartements du début du XXe siècle, dont ils sont le principal ornement rythmique, vont ici de pair avec une déambulation de figures humaines stylisées qui marient leurs courbes à une construction rationnelle d’esprit cubiste.