De retour de France, Maurice Cullen adapte la leçon de l’impressionnisme aux sujets locaux, qui lui permettent d’explorer les effets changeants de la lumière et les conditions atmosphériques singulières du paysage, en particulier hivernal. Pour Cullen, « la neige emprunte les couleurs du ciel et du soleil. Elle est tantôt bleue, mauve, grise et même noire, mais elle n’est jamais complètement blanche ».