Au traitement moderne des sujets, Adrien Hébert ajoute le sujet moderne par excellence, la machine portuaire, dont il apprécie l’esthétique fonctionnaliste. Port de Montréal s’impose par le jeu dynamique des verticales et des obliques qui structurent sa composition, qu’il s’agisse des mâts de charge, des cheminées ou des coques peintes des navires à quai, des convoyeurs et de la tour de chargement de grain, ou du mur d’un silo.