Heward accorde une place prépondérante aux mains de ses modèles, souvent croisées l’une sur l’autre. Dans Rosaire, un de ses rares portraits masculins, la force secrète de l’expression, au-delà de la palette chamarrée, tient peut-être à cette pose à laquelle s’astreint l’adolescent – les mains croisées – et aux rapports étroits qui s’établissent entre le modèle et le cadre architectural.